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Ces programmes ont pour but de montrer comment la
mécanique classique des ondes engendre les formules de relativité,
ou plutôt de montrer que la relativité n'est que de la mécanique
classique des ondes.
Il est conseillé de faire des essais avec
les programmes avant de lire les explications, c'est moins ardu, et cela
facilite la compréhension des textes.
Le texte explicatif est en html. Il se trouve dans
le dossier relafr_html ; relas.htm .
Le travail considérable que j'ai fait sur les ondes avant et après 1975, n'a pas été fait au dix-neuvième siècle, bien qu'il eu été tout à fait possible de le faire à cette époque. L'ignorance au début du vingtième siècle des résultats que j'apporte, a laissé le champs libre à des principes métaphysiques incertains et peu compréhensibles, principes métaphysiques qui s'avèrent limitatifs et inutiles, et qui de plus ont totalement bloqués tout développement sérieux de la mécanique classique des ondes.
J'explique rapidement ici une des facettes de mes
travaux.
Les explications sont à la portée
de beaucoup, elle sont reprises et développées dans le document
relas.htm, c'est l'articulation du programme joint au pack téléchargeable.
Les transformation de Lorentz, antérieures
à la relativité et base de cette relativité,
sont :
x'= (x-vt)/b et t' = (t - vx/(c^2))/b
avec b = sqrt(1 - (v^2)/(c^2)) et -c <
v < c
(sqrt : racine carrée, ^2 : puissance 2)
Ces transformations sont des transformations linéaires
simples de x et t , de la forme :
x' = px+qt et t' = mx + nt ( p q m n constantes)
( p = 1/b , q = -v/b , m = 1/b , n = -v/(b c^2)
)
Toute onde transversale sur une corde vibrante ( la vitesse d'une
onde libre étant c) a une équation de la
forme y = f(ct - x) + g(ct + x) , f et g étant
deux fonctions quelconques.
Calculons ct' - x' ainsi que ct' + x' , x' et t'
étant les transformées de x et t par les transformations
de Lorentz.
Nous trouvons : ct'-x' = ((1+v/c)/b)(ct-x) et ct'+x'
=((1-v/c)/b)(ct+x)
Posons k1 = (1+v/c)/b et k2 = (1-v/c)/b
On a : ct'-x'=k1(ct-x) et ct'+x' = k2(ct+x)
Remplaçons dans y=f(ct-x)+g(ct+x) x et t par x'
et t' , nous obtenons:
y=f(k1(ct-x)) + g(k2(ct+x))
Ce qui n'est rien d'autre qu'une nouvelle onde sur la même
corde vibrante.
Cette nouvelle onde est l'ancienne mise à vitesse v.
Si l'onde de départ est une onde stationnaire, avec des
points fixes (points immobiles), dans l'ondes mise à vitesse
v , on voit les points fixes se déplacer à vitesse
v le long de la corde.
A partir de là, je conseille d'utiliser les programmes que je propose de télécharger. Pratiques agréables est très animés, ces programmes vous permettrons de bien visualiser ce qui se passe. La lecture des explications complémentaires données dans les documents joints n'en sera que facilitée.
Complément : si E est l'énergie totale d'une
onde stationnaire au repos,
l'énergie totale de cette onde mise à vitesse v comme
ci-dessus est : Ev=E/b .
Une onde stationnaire entre deux points fixes se comporte comme un corps
de masse E/(c^2) vis à vis de l'accélération.
(Si les points fixes se déplacent à vitesse v, la masse inerte
est Ev/c^2 )
On retrouve ainsi sur les cordes vibrantes la relation w=mc^2.
Ce complément demande certaines précisions,
précisions données dans mon premier ouvrage:
* La relativité par les cordes vibrantes (1975, 183 pages), ouvrage
classé dans les archives originales du CNRS depuis 1977.
Mes autres travaux d'importance sont:
* La relativité par les milieux élastiques (1981, 185 pages)
(Les résultats obtenus sur les cordes vibrantes sont étendus
aux milieux élastiques de dimension trois;)
* Changements de variables transformant toute fonction de d'alembertien
nul, en fonction de d'alembertien nul.
Avec extension aux équations de Klein-Gordon . (1988, 129 pages)
J'ai contacté de nombreuses publications et de nombreux
spécialistes (tous en accord avec mes résultats), mais jamais
je n'ai réussi à faire publier mon travail. Par contre on
a vu apparaître vers le milieu des années 1980 une théorie
absconse reprise par tous les journaux scientifiques et intitulée
: La théorie des super cordes, théorie élaborée
entre autres par un français ( disparu depuis) qui prétendait
en avoir eu l'idée vers 1980, peut-être même en
1977.
Or : - Mon premier livre était classé aux archives
du CNRS depuis 1977.
- J'avais mis un très
grand nombre de spécialistes français et étrangers
au courant de mes travaux, depuis au moins 1976.
- Au lieu de diffuser des
résultats élémentaires fondamentaux accessibles à
un très large public, et totalement incontestables, certains scientifiques
ont favorisés (à grand renfort de publicité) la diffusion
de travaux obscurs, dont le titre imite celui de mon premier livre.
Plutôt que d'admettre que la relativité
n'est que de la mécanique classique des ondes, certains relativistes
essayent de tout obscurcir en favorisant les idées fumeuses.
Bien avant les super cordes, une publication
française m'avait répondu : "Les scientifiques sont très
contents de la formulation actuelle de la relativité, il n'est donc
nullement nécessaire de la réinterpréter à
partir des cordes vibrantes dont on ne sait presque rien."
Autre exemple un peu plus récent : " Les
travaux sont de bonne qualité, mais leurs publications ne s'impose
pas compte tenu des réalités de la physique contemporaine."
(conclusion du directeur du CNRS à la fin d'un rapport, un de plus,
sur mes travaux.1988).
On constatera la légèreté des arguments
qui me sont opposés.
Les droits de l'homme sur la production scientifique
sont loin d'être respectés (Article 27 cité plus bas).
La diffusion de mes résultat incontestables
et incontournables signifie la disparition d'une certaine école
relativiste.
Mais pour éviter cette disparition doit-on
:
Refuser de raisonner juste ?
Refuser d'exposer les réalités élémentaires,
celles des cordes vibrantes, celle des milieux élastiques,
car réalités contraires à certains principes de l'école?
Beaucoup de physiciens avouent ne pas
bien saisir l'exposé traditionnel de la relativité. Les résultats
que je donne permettent enfin de connaître la vraie signification
des formules de la relativité.
Je rejoints Lord Kelvin, lorsqu'il dit:
<< Il me semble que le vrai sens de la question : comprenons-nous
ou ne comprenons-nous pas un sujet particulier en physique est :
Pouvons-nous faire un modèle mécanique correspondant ? Je
ne suis jamais satisfait tant que je n'ai pu faire un modèle mécanique
de l'objet, si je puis faire un modèle mécanique, je comprends;
tant que je ne puis faire un modèle mécanique, je ne comprends
pas .>>
Annexe.
Déclaration universelle des droits de l'homme
(adopté à Paris le 10-12-1948)
Article 27 : (1) Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfait qui en résultent . (2) Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.
Article 19 Tout individu a droit à la
liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne
pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considérations de
frontières, les informations et les idées par quelque moyen
d'expression que ce soit.